Une étude scientifique suédoise affirme qu’adopter un chien serait excellent pour la santé 😉
Avoir un chien à la maison obligerait à l’activité physique quotidienne, et permettrait de diminuer les maladies cardiovasculaires… Et de se sentir mieux !
Vous avez décidé d’adopter un chien ? C’est une bonne idée, les refuges débordent et de nombreux chiens (ou chats) attendent une nouvelle famille. En adoptant, vous allez rendre heureux un animal, mais vous allez aussi améliorer votre santé cardiovasculaire.
Une étude scientifique menée par des chercheurs suédois et publiée dans la revue Nature affirme qu’adopter un chien auraient de nombreux bienfaits sur la santé du maître ! Nous vous rappelons qu’adopter un acte responsable qui vous engage pour la vie du chien…
L’étude en détail
Les chercheurs ont étudié les interactions entre l’homme et le chien… Et ces interactions permettraient au maître d’avoir une meilleure santé cardiovasculaire que des personnes sans chien. Pour ce faire, ils ont suivi pendant 12 ans un panel de 3.4 millions de personnes de 40 à 80 ans. Certaines possédant un chien, d’autres pas. Et le constat était le suivant : les propriétaires de chiens développaient moins de maladies cardiovasculaires que les autres. Le taux de décès par maladie cardiovasculaire était, lui aussi, moins important que chez les personnes ne possédant pas de chiens.
Les résultats
La meilleure santé des propriétaires de chien s’expliquerait par deux facteurs.
- Le chien offre un soutien social, oblige le maître à interagir avec les autres et le protège de la solitude.
- Le chien demande une activité physique à son maître, pour sortir, jouer, lui donner à manger.
Il n’est évidemment plus à démontrer que la présence d’un animal offre de nombreux avantages. D’autres études scientifiques avancent que la présence d’un chien réduirait, pour le maître, les visites chez le médecin. Et bien sûr, qu’un chien au domicile apaise les enfants comme les adultes. En moyenne, un propriétaire de chien de plus de 65 ans, marcherait 22 minutes de plus chaque jour qu’une personne sans animal.
Mais les interactions sociales y seraient également pour beaucoup… Parler à son chien et le câliner augmenterait la fabrication d’ocytocine (hormone de l’attachement amoureux), réduirait les niveaux de cortisol et régulerait donc le métabolisme humain. Alors prêts pour adopter un chien, et aller mieux ? N’oubliez pas si vous décidez de passer le cap, de l’identifier par puce électronique et d’une médaille.
(SOURCE: NEOZONE.ORG)